Nombre de messages : 14 Age : 33 Quartier résidentiel : Venice Beach Emploi : Agent d'infiltration - NCIS Côté coeur : Il bat, merci bien. Date d'inscription : 03/06/2010
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Sujet: « Are we going down or will we fly » - G. Callen Jeu 3 Juin - 16:14
G. CALLEN
«Qui es tu ? Décline ton identité ! »
Quel est votre nom? Callen, G. Oui, seulement G, et pour l'appeler comme ça vous rêvez, ça sera Callen et rien d'autre. G. c'est pour les intimes, et ces personnes là se comptent sur les doigts d'une seule main. Quand êtes vous né ? 24 janvier 1971, du moins c'est ce qui est écrit dans son dossier. Quant à où, cela reste un grand mystère ... Et pas seulement pour vous. Quel âge avez vous ? 39 ans D'où venez vous ? D'un peu partout, à vrai dire c'est un peu LA grande question. Mais de nationalité américaine, cela devrait suffire à satisfaire votre curiosité. Votre poste : Agent d'infiltration Votre affectation : Bureau des Affaires Spéciales à Los Angeles, CA
«On veut savoir qui tu es, et comment tu en es arrivé là. »
Flash-Back
Citation :
« Comment est-ce qu’elle m’appelait ? » Les yeux rouges de retenir tant bien que mal leurs larmes, et la voix qui tremblait malgré tous ses efforts pour le cacher. Voir G. dans cet état était quelque chose de quasiment impossible, mais pourtant. « Baby Brother … » Se raccrocher à des souvenirs que l’on avait que par brides, c’était douloureux. « Non je … J’veux dire … » Comment présenter à cette inconnue – parce que même si elle avait peut-être la réponse à une question cruciale qu’il se posait c’était quand même une inconnue – le fait qu’il ne savait même pas comment il s’appelait. C’était ridicule, et pourtant vrai. « Juste Baby Brother »
Laissant notre Callen derrière elle, la jeune femme avait quitté la pièce sans plus se retourner, sans doute trop pressée de tourner définitivement la page sur toute cette histoire. Mais pour Callen en revanche impossible de tourner la page, impossible de se dire que la jeune femme qu’il avait en face de lui il y avait encore quelque seconde était la seule et unique chose qui le reliait à une sœur dont il avait toutes les peines du monde à se souvenir.
Fin du Flash-Back
Westwood Cemetery, Los Angeles – mardi 7 septembre 2010, 7h30
Voilà déjà quelques semaines que la dénommée Amy Taylor, Amy Callen, Anna Lawson ou peu importe comment il fallait l’appeler, avait fait irruption dans la vie de G. pour en disparaitre aussi rapidement qu’elle était arrivée. Le tout en laissant à notre agent une foule de question à laquelle il commençait à se dire qu’il n’aurait décidément jamais de réponses. C’était la seconde fois que G. venait ici, qu’il s’arrêtait devant la tombe de celle qu’il avait appris comme étant sa sœur quelques semaines auparavant. Amy, c’était son nom … Sur la tombe pourtant était gravé le nom Anna Lawson. Mais quelle importance de toute manière, un cadavre depuis longtemps enterré sous cette terre n’était pas ce qui lui permettrait d’avoir des réponses à ses questions. A vrai dire il ne savait même pas pourquoi il avait senti le besoin de revenir ici, savoir que c’était sa sœur, quelqu’un qui avait le même sang que lui alors qu’il s’était toujours cru seul au monde, qui reposait là-dessous le mettait mal à l’aise. Il ne savait même pas s’il devait être peiné ou non par sa mort, il se disait que maintenant c’était un peu tard … D’autant plus qu’avant l’intervention d’Anna Lawson il ne se souvenait même pas d’elle. Bref, il savait qu’en venant ici il faisait en quelque sorte ses adieux, il ne reviendrait plus ensuite. Callen n’avait d’aussi loin qu’il puisse se souvenir jamais été quelqu’un de sentimental. Pleurer à chaudes larmes en se la jouant séquence nostalgie ce n’était vraiment pas son truc, et il n’y avait pas de raisons que cela change un jour. Être orphelin, et n’avoir personne sur qui réellement compter pendant tellement d’années lui avait appris à ne compter en fin de compte que sur lui-même, et à ne pas s’attacher aux autres. Le résultat aujourd’hui était que notre homme avait toutes les peines du monde à lier la moindre relation de confiance ; Il était un peu parano il fallait bien le reconnaitre, et les choses n’étaient pas allé en s’arrangeant depuis qu’on avait tenté de l’assassiner l’année précédente. Survivre à six coups de feu, ça c’était la preuve d’une véritable rage de vivre … Ou de rage tout court, c’était au choix. Quoi qu’il en soit Callen n’était ce jour là pas encore décidé à passer de l’autre côté, et il faudrait bien plus que six mois d’arrêt de travail pour foutre sa vie en l’air. A bon entendeur donc, il allait falloir les supporter lui et son caractère de chien mouillé encore quelques temps.
La sonnerie de son téléphone portable le sortit de ses pensées, et alors qu’il jetait à nouveau machinalement un coup d’œil aux alentours (paranoïaque, on vous avait prévenu) et jette ensuite un bref regard à l’écran du cellulaire pour y voir s’afficher le nom de « Sam ». Ne faisant pas attendre son interlocuteur plus longtemps il ouvre le clapet du téléphone et le porte à son oreille avant de répondre d’une voix sûre et engagée.
« Callen » Appel courtois ou bien enquête qui s’annonçait ? « G. ? J’espère pour toi que t’es déjà sortit de ton plumard, et même que t’es en route … Attends est-ce que tu réponds au téléphone en conduisant ? Tu veux perdre ton permis fraichement récupéré ? » Ahah, il commençait bien la journée celui-là, à lui faire remarquer qu’il n’était pas un as de la conduite. On le saura. « C’est pour m’asséner de charmantes vannes comme celle-ci que tu téléphones ? » Non, sans doute … Du moins il l’espérait. « Hum ça, et l’honneur de t’apprendre aussi que Hetty est d’une humeur telle ce matin que tu as intérêt à rappliquer à l’heure, je crois qu’elle a foutu en l’air sa machine à écrire, c’est assez … Enfin, ramène-toi quoi » Alors qu’il posait quelques instants ses yeux sur l’horizon, G. ne pu réprimander un léger sourire avant de répondre « Journée habituelle donc, et ne t’inquiètes pas maman, je serais à l’heure » C’est vrai quoi, Sam passait son temps à le materner, une vraie mère poule celui-là, mais avec les talents culinaires en moins (et G. savait ça en connaissances de causes). « C’est ça fais le malin … Allez active un peu, et prend la branche 710, sinon j’ai le temps de me taper une sieste avant que tu arrives » Non mais ça suffit là oui, déjà il ne conduisait pas si mal que ça … parfois. « Je conduis bien où je veux déjà, et … » Mais trop tard, Sam avait déjà raccroché, sans doute trop content de commencer la journée en ayant le dernier mot niveau blagues potaches. Cela dit ce n’était que le début de la journée, Callen aurait tout le temps de se rattraper il n’en doutait pas un instant.
Réprimant un léger soupir, Callen avait rangé son téléphone dans la poche de son jean avant de jeter un dernier regard sur la tombe où il était arrêté depuis presque une demi-heure. Il cherchait quelque chose à dire, quelque chose de circonstances et qui n’aurait pas l’air ridicule ou sans inspiration … Mais rien ne lui venait. « Adieu, Baby Sister … » … Il n’avait rien trouvé d’autre, d’ailleurs sans doute n’y avait-il rien d’autre à dire, mieux valait refermer ce chapitre de l’inconnu qu’était son passé de façon définitive. A quoi bon s’embarrasser de choses qui ne pouvaient plus être changées … Ce fut donc sur cette réflexion autant philosophie que fataliste – sans doute parce G. était un peu l’un et l’autre à ses heures perdues – que notre agent quitta le cimetière de Westwood, pour regagner ensuite d’un pas assuré et rapide sa Mercedes CLS.
{ ... }
Office of Special Projects (OSP), Los Angeles – mardi 7 septembre 2010, 8h01
Ayant dépassé les limitations de vitesse, bien obligé pour arriver à l’heure en évitant les bouchons et les axes principaux, G. était finalement arrivé à l’heure, comme l’indiquait sa montre. Restait plus qu’à savoir si ce bon vieux Sam avait eut le temps de faire sa sieste … Mais non, son baroudeur de coéquipier était installé sur un des canapés que comptait le coin de l’immense patio qui leur servait de QG, et pianotait sur son téléphone portable comme un gosse sur sa console de jeu. Une journée comme tant d’autres se profilait à l’horizon … Une journée donc qui ne pouvait pas se passer sans que Henrietta Lange ne fasse sursauter Callen en le prenant par surprise, comme elle savait si bien le faire avec ses agents.
« Monsieur Callen, vous êtes en retard … Panne d’oreiller ? A moins que ce ne soit encore un problème de conduite ? Vous savez qu’il y a toujours possibilité de vous rajouter quelques heures de traffic school supplémentaires si vraiment besoin était » Décidément, qu’est-ce qu’ils avaient tous avec sa conduite aujourd’hui, il ne conduisait pas si mal que ça non plus … Enfin. « En retard moi ? Une minute c’est pas un retard, c’est moins que le temps que met Sam à se contrôler avant de se prendre à nouveau pour ma mère, c’est dire » En ce qui concernait les blagues et piques amicales, vous comprendrez donc que si Sam était un pro, G. lui non plus n’était pas en reste. « Trêve de plaisanteries Monsieur Callen, et une fois que vous aurez retiré cette trace de cambouis de votre visage venez-donc me rejoindre à mon bureau »
La raison de cette convocation matinale éveilla tout de suite la curiosité de notre agent, mais cela dit le regard énigmatique et le sourire en coin de celle qu’ils appelaient ici tous Hetty le persuada de ne pas discuter et de rappliquer rapidement s’il souhaitait en savoir plus. Rejoignant Sam d’un pas toujours assuré, Callen attrapa au passage le miroir de poche qui trainait sur le bureau de Kensi, sans doute ne lui en voudrait-elle pas de lui emprunter quelque instants. Effectivement, une trace noire lui barrait la pommette droite, mais quant à savoir d’où elle venait … Il n’en avait pas la moindre idée. Frottant quelques instants à l’aide de sa main il ne parvint en fait qu’à étaler le tout sur sa joue, avant que la propriétaire du miroir ne vienne lui reprendre sans crier gare avant de le prendre en pitié et de sortir un mouchoir de sa poche pour lui enlever cela elle-même.
« Alala, les hommes ne sont vraiment pas doués quand ils s’y mettent » Il ne lui avait pas fallut plus de quelques secondes pour enlever le cambouis de la figure de G. … Mais le maquillage-démaquillage c’était un truc de nanas après tout non ? « Les femmes seraient perdues sans nous, que veux-tu elles nous aiment » De son canapé Sam n’avait pu s’empêcher de mettre son grain de sel « Je rejoints son avis (a) » Bien entendu, parce que lorsqu’il s’agissait de charrier Kensi ils étaient toujours plus efficaces en duo.
Laissant à ses deux collègues le loisir de continuer cette discussion, Callen avait tourné les talons et était revenus sur ses pas, bien décidé à aller retrouver Hetty et savoir enfin de quoi il retournait et pourquoi elle faisait des mystères. Derrière lui la voix de Kensi tentait tant bien que mal de venir à bout des taquineries parfois incessantes de Sam. Qu’on se le dise, Callen s’entendait plutôt bien avec ses collègues ; Bien sûr il n’était pas quelqu’un d’énormément expansif mais cela dit cela ne l’empêchait pas d’avoir réussi à conserver dans son équipe une sorte de cohésion. Une sorte de confiance plutôt, car après tout il était impossible de bosser en équipe sans avoir un minimum confiance dans les autres, et là encore même s’il n’était pas homme à dire ce genre de choses à haute voix il n’en demeurait pas moins qu’il savait un véritable potentiel en chacun des membres de l’équipe. Il avait bien sûr été un peu dur avec Kensi à son arrivé, tout comme il l’avait été avec Dominic … Dominic Vail, regretté membre de l’équipe, décédé il y avait de cela quelque mois seulement. Bien que chacun s’en soi remis de son côté, tous avaient été marqués par la disparition et l’assassinat d u petit nouveau de l’équipe, qu’ils avaient tous l’impression du coup d’avoir parfois un peu trop malmené … Sam surtout avait eut du mal à l’accepter. Venons-en à Sam justement, certes il était pour G. un coéquipier, mais il était aussi en réalité un ami, l’Ami avec un A majuscule. Ce genre d’ami qui n’avait pas besoin de vous assassiner de questions pour comprendre, le genre qui ne prouvait pas son amitié par ses paroles mais par ses actes, le genre sur lequel on était toujours sur de pouvoir compter et sur qui on pouvait s’appuyer quand tout le reste autour de nous s’écroulait. Sam était ce genre de personne pour G., et réciproquement Sam savait aussi qu’il pouvait avoir une confiance aveugle en Callen … C’est qu’ils en avaient traversé tous les deux, et plusieurs fois s’étaient mutuellement sauvés la peau. Parfois Hetty, Kensi, ou même Eric et Nate se moquaient un peu de ce duo qui fonctionnait comme un vieux couple, ne marchant qu’à coup de blagues et de « tu m’énerves, mais qu’est-ce que je ferais sans toi », mais au fond c’était à travers cet équilibre que l’un et l’autre avaient trouvé leur façon de fonctionner. A y réfléchir, le seul de l’équipe avec lequel G. avait encore un peu de mal se trouvait être Nate. Nate Getz, psychologue à l’OSP et suscitant encore parfois la méfiance de Callen. Non pas que notre agent ne le juge moins digne de confiance que les autres, mais il voyait parfois d’un mauvais œil la capacité de ce fin psychologue à en comprendre beaucoup plus que vous-même sur votre comportement. C’était une situation assez gênante pour un Callen qui était passé maitre dans l’art de camoufler émotions, pensées et style de vie … Et voilà donc d’où lui venait cette espèce de tension qu’il éprouvait vis-à-vis de Nate. Mais c’était un bon élément, là-dessus il n’y avait rien à dire.
{ ... }
Henrietta Lange’s Office (OSP), Los Angeles – mardi 7 septembre 2010, 8h05
Le premier réflexe de Callen lorsqu’il approcha le bureau de Hetty fut de jeter un coup d’œil à l’antique machine à écrire qui y trônait. A en juger par les innombrables feuilles de papier qui s’entassaient dans la corbeille, la pauvre machine semblait effectivement avoir des difficultés à fonctionner correctement … Mais mieux valait ne pas remuer le couteau dans la plaie, et donc s’abstenir de toute réflexion à ce sujet. Ni même à propos d’autre chose, à vrai dire G. s’était approché du bureau et attendait maintenant sans rien dire que Hetty lève les yeux vers lui. Ce qu’elle ne tarda pas d’ailleurs à faire, remettant sur son nez les lunettes qu’elle avait quelques instants retirés, et posant ses yeux perçant sur notre agent.
« Je tenais simplement à vous rappeler quez c’est aujourd’hui que vous passez le flambeau … » … « … à l’agent Dinozzo, je sais. Je n’avais pas oublié » Il avait terminé la phrase d’Hetty avant qu’elle-même n’ai eut le temps de le faire. « Ça je le sais Monsieur Callen … »
Elle n’avait rien ajouté de plus et se contentait de le regarder sans ciller, le genre de chose qui avait le don de mettre Callen mal à l’aise. Mais il savait qu’elle en était la raison, elle souhaitant simplement savoir par sous-entendu quel était le sentiment – ou le ressentiment – de G. à ce propos ; C’était tout à faire le genre de Hetty, à qui on ne pouvait certainement pas reprocher de ne pas se soucier de ses employés. De l’avis de Callen elle avait même tendance à les surprotéger un peu trop parfois, mais enfin … Quoi qu’il en soit il la rassura à sa façon.
« La différence entre moi et lui c’est que maintenant c’est plus moi qui ferait la paperasse … Que demander de plus ? » Du moment qu’on le laissait en binôme avec Sam, Callen n’était en dehors de ça pas exigeant, si il aimait son boulot c’était pour les missions sur le terrain, l’adrénaline et tout ce qui s’en suivait … Pas besoin d’avoir la place qui revenait maintenant à Dinozzo pour ça. « Oh ça je ne doute pas jeune homme que le fait de ne plus être celui qui décide ne vous empêchera pas de continuer à n’en faire qu’à votre tête lorsque l’envie vous en prendra »
Là-dessus il était vrai que la réputation de Callen n’était plus à faire, il avait sérieusement tendance à bafouer l’autorité lorsqu’il avait une idée bien ancrée en tête. Disons qu’il était dur genre à prendre un peu trop souvent des risques inconsidérés, mais d’aussi loin qu’il puisse se souvenir il avait toujours été du genre casse-cou et de ce fait en grandissant on pouvait dire maintenant qu’il aimait vivre dangereusement … L’adrénaline, c’était ce qu’il lui fallait à tout prix, ce genre de sensation que l’on avait en se savant sur le fil et en réussissant une fois de plus à s’en sortir, il n’y avait rien de comparable à cela. Cela dit c’était aussi cette tendance à ne pas savoir être raisonnable qu’il l’avait fait renvoyer du FBI, de la CIA et de la DEA … Avant qu’il n’atterrisse au NCIS. Ouais, notre agent avait fait le tour des agences gouvernementales nécessitant des agents d’infiltration. Et si beaucoup lui reprochaient sa trop grande intrépidité tous s’accordaient à dire qu’il était né pour faire de l’infiltration … Quoi de plus facile cela dit que de prendre l’identité de quelqu’un d’autre quand on ne savait de toute façon pas qui on était à la base, cela facilitait beaucoup la tâche c’était indéniable. G. et Hetty, qui se regardaient en chien de faïence depuis quelques secondes, furent finalement interrompu par le sifflement enthousiaste d’Eric, qui du haut de l’escalier menant à l’étage supérieur avait interpelé Sam et Kensi.
« Mais je suppose que l’agent Dinozzo devra prendre ce qui s’annonce en route s’il n’arrive pas dans les cinq minutes » Le sourire amusé que lui adressa Hetty suffit à G. comme réponse, et après un léger signe de tête en sa direction il avait tourné les talons pour rejoindre Sam et Kensi qui montaient déjà les escaliers, tandis que Nate arrivait lui de l’étage supérieur juste derrière Eric. L’équipe était au complet … Enfin, presque, mais il faudrait un peu de temps à Callen pour se faire à l’idée que … « J’arrive au bon moment on dirait ! »
Dinozzo venait de pénétrer dans le patio et levait déjà les yeux vers eux. Ouais, désormais ils devraient à nouveau compter à six et non plus à cinq … C’était un peu la valse des agents, entre la disparition de Macy, le retour de Callen, le décès de Dominic … Il y en avait eut du mouvement dans cette équipe ces derniers temps. Espérons que les choses se stabilisent un peu, car la façon dont les avait quitté Dom était encore présente dans les esprits de l’équipe et aucun d’eux n’appréciaient ce genre de changements …
Dernière édition par G. Callen le Jeu 10 Juin - 12:38, édité 14 fois
G. Callen
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Sujet: Re: « Are we going down or will we fly » - G. Callen Jeu 3 Juin - 16:14
«Mais tout ça n'est pas réel. Quel est ton vrai visage ? »
Ton prénom / Pseudo : Yumita (a) Elodie Ton âge : 19 ans et toutes mes dents *SBAFF* Qui as tu choisis ? : Chris O'Donnell ♥ Exemple rp :
Spoiler:
« Pour la dernière fois donc … d’où sort ce fric ? » Dwayne savait s’avancer sur une cause perdue, des crapules comme ça il en avait croisé un paquet et toutes tenaient à peu près le même genre de discours « Mais c’est le mien ! C’est mes économies ! J’ai pas confiance dans les banques … » Gagné, Dwayne aurait même pu parier la réponse, pour la simple raison que la non confiance dans les banques était l’excuse la plus fréquemment utilisée … Celle là et aussi le fameux « C’est pas le mien je sais pas ce qu’il faisait sous mon pieu ».
Soupirant à nouveau devant le manque de coopération de l’individu qui lui faisait face, Dwayne s’était levé de la table contre laquelle il s’était assis, cette même table où son interlocuteur était attablé lui aussi, un poignet solidement attaché à sa chaise par une paire de menottes. Allant s’adosser contre le mur il croise les bras avant de poser à nouveau son regard sur son « hôte », ajoutant un « Tu sais j’ai tout mon temps … » au tableau. Et effectivement il avait tout son temps, bien que nous soyons en fin d’après-midi, il avait tout son temps … Normal, puisqu’il était de permanence cette nuit. A vrai dire ces temps-ci il les enchainait, parce qu’il préférait ça à rester enfermer seul dans son appartement des soirées entières, et aussi parce que ses fréquents déplacement à New-York le faisait assez remarquer pour qu’il cherche à se rattraper comme il pouvait ensuite. Cela dit bien qu’il ai à priori toute la nuit devant lui, la perspective de la passer à chercher vainement à faire parler quelqu’un qui ne l’ouvrirai pas pour autre chose que faire le mariole et sortir des blagues qui auraient pu être drôles à Dwayne si seulement elles ne lui faisaient pas perdre son temps ne l’enchantaient pas plus que ça … Parce que de nos jours cacher quinze mille dollars sous son matelas n’était pas une preuve suffisante, même pas lorsqu’elle était combinée à la présence dans une armoire à pharmacie de tout ce qui était nécessaire à un bon shoot. Non, parce que si du temps de Daniel (flic de la vieille époque et véritable mentor de Dwayne) on coinçait les dealers à leur propre jeu avec des méthodes pas très orthodoxes mais qui avaient l’avantage d’être drôlement efficaces, de nos jours on considérait les dealers comme des pauvres victimes de la société. Et ça, ça avait le don de faire bouillir Dwayne, parce qu’il faisait des dealers une affaire personnelle sans doute, mais également parce qu’il trouvait tout bonnement que la loi était franchement mal foutue … Et dans ces moments là il se félicitait d’avoir choisi psycho plutôt que droit à l’université. Enfin, en attendant que la loi change (ou pas), Dwayne et des dizaines de milliers d’autres flics devraient faire avec les types dans le genre de celui qu’il avait en face de lui. Et ce n’était pas la perspective la plus réjouissante qui soit, même si au fond même lorsqu’il râlait un peu pour le principe Dwayne savait pertinemment qu’il ne changerait de métier pour rien au monde. Être flic c’était devenu une vocation un peu sur le tard, d’autant plus qu’il avait étant ado une véritable aversion pour les représentants de l’ordre, mais maintenant il savait qu’aucun autre métier ne lui aurait plu autant. Sauf la médecine, bien entendu … Mais il s’agissait du rêve inaccessible de carrière que chacun se devait d’avoir, le métier que l’on aurait rêvé d’exercer mais que l’on avait pas eut la possibilité d’atteindre malgré tous nos efforts.
Les deux coups frappés à la porte de la salle sortirent Dwayne de sa contemplation silencieuse de l’interrogé. Trop content de pouvoir sortir quelques instants de la salle et d’avoir droit à autre chose que le regard niais du dealer qui se savait tout sauf en mauvaise posture pour l’instant, le jeune homme était donc sortit dans le couloir où un autre officier, pas de permanence lui et visiblement pressé de pouvoir enfin rentrer chez lui.
« C’est toi qui t’es occupé du rapport sur Benfield ? » Il en avait de ces questions lui, comme si Dwayne retenait le nom de tous les dossiers qui passaient entre ses mains à un moment ou un autre. Marquant donc un court silence il essaye de se remémorer rapidement de quoi il était question, avant de finalement répondre « Non, enfin j’ai fait le gratte-papier pendant l’interrogatoire mais c’est pas moi qui me chargeait du reste … Pourquoi ? » D’ailleurs s’il y avait bien un truc que Dwayne n’aimait pas c’était faire la paperasse, sans doute parce qu’il avait fait une overdose de rédaction de rapport lorsqu’il était bleu. « J’sais pas, un problème au secrétariat ou j’sais pas quoi … » Ouais, là Dwayne était vachement renseigné, c’était ce qu’on appelle de la précision … relative. Cela dit il avait une excuse pour laisser mariner son ami dealer dans son jus quelques instants, et ça c’était une occasion inespérée. « J’vais aller voir, rentre chez toi va … Oh mais si j’me souviens bien c’est une soirée intéressante pour toi non ? (a) » C’est fou comme maintenant qu’il n’était plus en face d’un interlocuteur qui le prenait pour un crétin Dwayne se sentait de moins mauvaise humeur « Intéressante, intéressante … J’verrai ça, mais j’ai un bon pressentiment (a) » Et après un clin d’œil en guise d’au revoir, Dwayne se retrouva à nouveau seul dans le couloir.
Au moins un qui passerait une soirée intéressante, et en bonne compagnie. Dwayne lui devrait se contenter d’un thermos de café, d’un bouquin, et de la compagnie des gardés à vue en attendant d’être rejoint par un collègue après minuit. Soirée super palpitante en perspective donc … Le genre de soirée boulot où il regrettait encore Chicago, parce que dans cette ville là les nuits dans les commissariats étaient rarement calmes et qu’on avait pas le temps de s’y ennuyer. Alors qu’à New Heaven, il y avait autant de chance qu’il se passe quelque chose de dingue cette nuit que de chances qu’il gagne au loto … Quoi que le service s’était bien retrouvé avec un macchabé sur les bras le soir de Noël, mais on n’assassinait pas de sénateurs tous les jours à New Heaven, fort heureusement. Laissant en plan et sans le moindre remord son dealer, qui attaché à sa chaise n’irait de toute façon pas bien loin, surtout avec une porte verrouillée et une caméra de surveillance. Traversant donc le couloir, passant par le hall d’entrée et dépassant plusieurs bureaux dont le sien, Dwayne arrive enfin à celui qui se trouvait être sa destination et s’y engouffre après avoir reçu une réponse favorable lorsqu’il avait frappé à la porte.
{ … }
Lorsqu’il était ressortit, dix bonnes minutes plus tard, la pluie qui tombait dehors résonnait contre les vitres de façon assez assourdissante. Il pleuvait depuis le début de la journée déjà, mais là c’était véritablement une averse … Pas de quoi vous donner un regain de motivation, et pour le coup Dwayne était content de ne pas avoir à sortir, d’autant plus qu’il était venu à pieds ce matin, avant que la pluie ne s’installe définitivement. De la paperasse à la main, Dwayne longea à nouveau en sens inverse le couloir par lequel il était arrivé, sans grand enthousiasme à l’idée de retourner jusqu’à la salle d’interrogatoire. Il s’accordait encore une demi-heure, si passé ce délai il n’y avait toujours rien il ramènerait monsieur j’ai-pas-confiance-dans-les-banques dans sa cellule où il le laisserait prendre le frais jusqu’au lendemain matin. Et là quelqu’un d’autre prendrait le relai, parce que Dwayne lui rentrerait se coucher pour ne pas ressortir de son lit avant l’après-midi … Non non, ce n’était pas du tout ce qu’on appelait vivre en décalage. Il avait atteint le bout du couloir, qui donnait sur le hall d’entrée où l’officier qui s’occupait de l’accueil alternait fréquemment entre les périodes de débordement et celles où le cimetière de la ville semblait plus animé. A peine Dwayne avait-il fait un pas qu’il stoppa net son chemin, pétrifié par ce qui se tenait devant l’accueil, à trois mètres de lui à peine …
« Sullivan, Dwayne Sullivan … on m’a confirmé qu’il travaillait ici » Passé la stupeur, l’évocation de son nom eut sur Dwayne comme l’effet d’une décharge électrique ; Parce qu’il n’avait pas entendu quelqu’un prononcer ce nom depuis un moment maintenant, et parce que l’identité de la personne qui venait de le prononcer faisait que notre jeune policier avait peine à croire qu’il ne s’agisse pas d’une hallucination. « Et je vous répète qu’on a aucun agent Sullivan ici, vous faites erreur » lui avait répondu son collègue, qui perdait visiblement patience devant l’insistance de la jeune femme.
Prestement, Dwayne avait fait deux pas en arrière pour se dissimuler derrière le mur du couloir. La panique qui venait de s’emparer de lui faisait raisonner les battements de son cœur à tel point qu’il avait l’impression de ne plus pouvoir s’entendre penser. Comment était-ce possible ? Comment l’avait-elle retrouvé et surtout, comment connaissait-elle son véritable nom ? C’était ce qui inquiétait le plus le jeune homme, si elle le connaissait alors elle l’avait obtenu de quelqu’un, et ça c’était mauvais, très mauvais pour les affaires de Dwayne. Mais la faille majeure dans son problème d’identité n’était pas la seule chose qui lui mettait l’esprit sans dessus-dessous … Non, sa présence à elle, elle qu’il pensait ne plus jamais revoir et à qui il avait écrit cette lettre comme un adieu ferme et définitif, c’était ce qui le troublait vraiment. C’était comme se blesser à nouveau sur une plaie à peine cicatrisée, c’était douloureux, encore plus même que la première fois.
Adossé contre le mur qui le dissimulait encore, il ferma quelques instants les yeux dans l’espoir de retrouver ses esprits, les doigts crispés contre le dossier qu’il tenait toujours à la main. Attendre là qu’elle s’en aille après avoir compris qu’il n’y avait – du moins c’est ce qu’ils croyaient – aucun Dwayne Sullivan ici ? C’était une solution, c’était d’ailleurs la seule et unique qui soit envisageable pour Dwayne. Seulement c’était sans compte LA tuile, celle qui se profilait à l’horizon, encore invisible à Dwayne mais qui était la preuve que le karma, le hasard où les divinités Inuits de Dwayne avaient décidés de s’amuser un peu, aux dépends de notre ami flic.
« Eh Dwayne ! Tu pourrais me … » Passant devant l’accueil pour rejoindre le couloir qui y attenait, Calvin venait de débarquer dans le champ de vision de Dwayne et se stoppa net dans sa phrase devant les signaux muets et incompréhensibles du jeune homme qui sous-entendaient « Boucle là espèce de fou, tu veux ma mort ? » … Mais il était trop tard, ayant entendu la jeune femme avait fait deux pas dans la direction des deux policiers et Dwayne n’avait pas eut d’autre choix que de se montrer. « Quoi ? Qu’est-ce que j’ai dit ? »
Mais Dwayne n’avait même pas entendu la dernière réflexion de Calvin, trop occupé à fixer sans plus pouvoir bouger le visage de celle qu’il avait trahi presque trois ans plus tôt. Il aurait aimé pouvoir dire quelque chose d’intelligent, ou tout du moins dire quelque chose, mais les mots semblaient rester coincés au fond de sa gorge et tout juste arrivait-il à là regarder dans les yeux.
« Olivia … » Son prénom, il ne l’avait pas prononcé une seule fois depuis le jour où il avait quitté Miami. Il avait enterré ça dans un coin de sa mémoire en espérant sans doute que cela finirait par disparaitre, mais cela n’avait jamais été le cas. Et aujourd’hui, passé la stupeur qui les avaient quelques instants figés tous les deux, il allait payer son comportement passé … Et parce qu’il connaissait le caractère de la jeune femme il savait qu’il allait payer cher.
Comment as tu trouvé le forum : La première fois je ne sais plus, il était dans mes favoris depuis plusieurs mois ... Mais sinon récemment, sur PRD Tes disponibilités : Je peux passer tous les jours, sauf si mes profs de fac' se la jouent bourreaux psychopathes et nous noient sous le boulot. Après en RP cela dépend de combien j'en ai à répondre sur les autres RPG ou je suis inscrite, mais je poste au moins un RP par semaine dans le pire des cas. Code :OK Aime tu le forum et pourquoi ? : Ouii parce que NCIS huhu ♥ Après comme je l'avais dit sur PRD je ne suis pas très fan du design (sombre & un peu vide), mais bon. D'ailleurs en ce moment j'suis d'humeur à toshoper alors si y'a besoin y'a qu'à demander
Sinon j'ai plusieurs question avant de commencer à rédiger ma fiche : - Est-ce que je dois suivre l'histoire par rapport au début de la saison 1 de NCIS LA ou bien par rapport au season finale ? Que je sache ce que je fais par rapport au passé de Callen, et par rapport à Dominic ... - Dans la fiche y'a marqué de donner pas mal de détails sur le personnage et sur son passé, sauf que le problème avec Callen c'est qu'on ne sait rien du tout sur son passé étant donné que lui non plus. J'invente ou bien je développe plutôt sur le fait qu'il est lui aussi à la recherche de réponse ? (je dois avouer avoir une préférence pour la deuxième option)
Dernière édition par G. Callen le Jeu 3 Juin - 19:23, édité 1 fois
Anthony Dinozzo
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Sujet: Re: « Are we going down or will we fly » - G. Callen Jeu 3 Juin - 18:58
Tout d'abord, je te souhaite la bienvenue sur le forum et je te remercie de t'y être inscrite.
Pour répondre à tes questions, je vais un peu modifier le contexte et retirer Dom des Postes vacants afin que cela se passe après le dernier épisode de la saison 1.
Pour l'histoire de Callen, j'avoue que je préfère aussi à deuxième option, pour la rédaction de ta fiche.
SI tu as d'autres questions n'hésite pas ;)
Invité Invité
Sujet: Re: « Are we going down or will we fly » - G. Callen Jeu 3 Juin - 19:07
Welcome on board agent Callen
G. Callen
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Sujet: Re: « Are we going down or will we fly » - G. Callen Jeu 3 Juin - 19:08
Mercii :D
Okay, dans ce cas là je me mettrai sans doute au début de ma fiche ce soir ^^ Mais avant faut que je regarde le season finale de NCIS LA, parce que je suppose vu l'épisode d'avant qu'il est important pour Callen mais en fait je l'ai pas encore regardé x'D
Et merci Directeur
Anthony Dinozzo
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Sujet: Re: « Are we going down or will we fly » - G. Callen Jeu 3 Juin - 19:10
Alors, je ne vais pas te spoiler ^^
Mais tu ne seras pas déçue ;)
Invité Invité
Sujet: Re: « Are we going down or will we fly » - G. Callen Jeu 3 Juin - 23:50
Ouaaaaiiiis un autre membre de LA !!!!
Welcome On Board !
G. Callen
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Sujet: Re: « Are we going down or will we fly » - G. Callen Ven 4 Juin - 0:16
Merciii
J'ai fini la saison, effectivement l'épisode était trop bien J'vais me mettre à ma fiche, mais je finirais sans doute pas avant la semaine prochaine parce que j'ai des partiels à réviser en parallèle ;)
Anthony Dinozzo
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Sujet: Re: « Are we going down or will we fly » - G. Callen Ven 4 Juin - 0:46
tkt, y a pas de soucis, je sais ce que c'est ;)
et sinon, t'as suivi la saison 7 de NCIS ES ???
G. Callen
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Sujet: Re: « Are we going down or will we fly » - G. Callen Ven 4 Juin - 12:11
Non T_T
J'ai essayé, j'ai regardé les deux premiers épisodes de la saison, mais comme j'avais pas vu la deuxième moitié de la saison 6 (ça passait le vendredi soir, j'avais cours le samedi matin fallait que j'me lève à 5h30) bah je comprenais rien du tout x'D Ziva avait envie de tuer Tony je savais même pas pour bref, j'étais perduue xD Donc comme là la saison 6 vient de sortir en DVD j'vais déjà commencer par l'acheter et terminer cette saison xD
Invité Invité
Sujet: Re: « Are we going down or will we fly » - G. Callen Dim 6 Juin - 14:19
• Bienvenue!!!
Bon courage pour les 40% restants!
G. Callen
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Sujet: Re: « Are we going down or will we fly » - G. Callen Dim 6 Juin - 14:38
Mercii Abby
Invité Invité
Sujet: Re: « Are we going down or will we fly » - G. Callen Dim 6 Juin - 23:14
Plus que 30% !!!!
Anthony Dinozzo
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Sujet: Re: « Are we going down or will we fly » - G. Callen Lun 7 Juin - 1:45
Yeah ^^
Vivement les 100%
G. Callen
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Sujet: Re: « Are we going down or will we fly » - G. Callen Jeu 10 Juin - 2:04
J'ai finiii J'ai peut-être laissé passé quelques fautes, là il est trop tard pour que j'ai le courage de me relire en entier une dernière fois x'D Si besoin je modifierai demain ;)
Anthony Dinozzo
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Sujet: Re: « Are we going down or will we fly » - G. Callen Ven 11 Juin - 15:21
Franchement, j'adore l'histoire
Pour moi ça ne fait aucun doute, tu es validé
G. Callen
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Sujet: Re: « Are we going down or will we fly » - G. Callen Ven 11 Juin - 19:22
Si ça t'a plu alors tant mieux :) Merciii
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Sujet: Re: « Are we going down or will we fly » - G. Callen
« Are we going down or will we fly » - G. Callen
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